Délicieuses ou simplement reposantes, les vacances sont un état qu’on peine à quitter et c’est bien naturel. Le retour aux couloirs stressés du bureau, aux contrariétés que déversent sans discontinuer portables et e-mails, aux sourires forcés et à la langue de bois n’a rien de folichon… Bref, changez de job !
Vraiment pas envie de rentrer…
Vous le savez déjà, l’état de grâce post-vacances s’estompera rapidement et apparaîtront dans la foulée des crises de flemmingite aigue, notamment quand il s’agira de sortir du lit le matin. C’est grave, docteur ?
Sauf exception, cette fatigue qui vous envahit à la seule idée de vous rendre au travail n’a rien de physique. Pour autant, culpabiliser, s’accuser de fainéantise ou au contraire se poser en victime d’un acharnement quelconque ne vous sera d’aucune utilité. Et si la sacro-sainte « auto-pied-au-cul-thérapie » elle-même trouve sa limite, il est probablement temps de…
Changez de job !
Cessez d’épuiser votre imagination en recherche d’excuses pour grapiller une journée de repos ou en représailles aux mesquineries des collègues, fuyez les oreilles complaisantes, refusez la gestion médicamenteuse du stress… Pour sortir du cercle vicieux, vous devez changer de job !
A la recherche du métier de vos rêves
Regardez en face vos véritables aspirations. Vous devez aller chercher au fond de vous la flamme qui vous fera vibrer professionnellement. En considérant votre travail comme une source d’épanouissement personnel, vous allez définir votre contexte de confort moral et matériel, et pouvoir commencer à le créer.
Changer de job, de point de vue, d’objectif, de vie peut-être… La première action à poser est sans nul doute de vous engager dans un bilan de compétences !
